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Kid we own the summer

Sur la pochette, une femme s’avance vers le jour finissant –à moins que ce ne soit le petit matin. Deux ans après le succès de Night Moves, déambulation dans un Los Angeles nocturne et inquiet, H Burns revient avec un nouveau disque entre chien et loup. Celui-ci s’appelle Kid we own the Summer, et trace son chemin entre quelques grandes boussoles ayant pour nom la Californie de David Lynch et d’Angelo Badalamenti, le Springsteen intime de Darkness the Edge of Town, le Suicide presque calme du second album, ou la mélancolie toujours élégante de The National. Nées autour d’un clavier, d’un piano et d’une boîte à rythme, ces dix chansons ont été mises en lumière, comme toujours et avec une infinie délicatesse, par des invités-amis impeccables –les cordes de Bertrand Belin et les claviers vaporeux de Denis Clavaizolle (Bashung, Murat, Daniel Darc)– avant d’être mixées par Rob Schnapf (Elliot Smith, Beck…) et masterisées par le grand Greg Calbi (Springsteen, Dylan, Paul Simon).

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